Mercredi après-midi, le latéral gauche Rouge et Noir a prolongé pour une saison supplémentaire. L’international guyanais est désormais lié avec le Stade Rennais F.C. jusqu’en juin 2019.
Ludovic Baal, quelles sont les motivations qui t’ont amené à prolonger ?
Que le club me fasse part de sa confiance, ça fait très plaisir. Je me sens bien à Rennes. Ma première année s’est plutôt bien passée. L’équipe tourne bien et il y a un bon groupe. On arrive à assimiler les directives de l’entraîneur, je pense que l’on peut faire quelque chose de bien cette saison.
C’est une nouvelle qui ravi surtout Christian Gourcuff, très satisfait de ton rendement !
Je travaille pour ça, faire partie des meilleurs. S’il est content de moi, ça me donne envie de faire plus pour lui prouver qu’il ne se trompe pas. L’entraîneur aime les latéraux offensifs. Dès que l’on défend bien, on a des libertés. J’apprécie ce rôle.
Tu fais partie, depuis le début de la saison, au Stade Rennais F.C. mais aussi en Ligue 1 des joueurs qui touchent le plus le ballon…
C’est étonnant c’est vrai. C’est dû au système mais aussi à l’envie. Je me déplace beaucoup pour toucher le ballon.
Tu es aussi le joueur qui enchaîne le plus de matchs !
J’ai toujours beaucoup joué depuis que je suis professionnel. Je n’ai pas eu souvent de blessures mais il y en a une qui m’a freiné la saison dernière. J’espère pouvoir faire une année pleine. Avec la sélection guyanaise, je prends beaucoup de plaisir car j’ai beaucoup d’amis qui y jouent, mon frère également. Ça me permet de les retrouver ainsi que la famille. C’est une belle aventure humaine. On voyage et on fait de bons résultats. Ça fait du bien, ça donne de l’énergie et ça permet de revenir encore meilleur à Rennes.
Pour terminer, le Stade Rennais F.C. fait bonne figure pour l’instant en championnat…
On est dans une bonne situation. Il faut continuer. On n’a pas toujours joué comme on le devait mais le plus important est l’efficacité. Ce sera difficile à Paris mais étant sur une bonne dynamique, on n’a qu’à se lâcher et jouer. Peut être que ça passera.
