Ce jeudi, en conférence de presse d'avant match, Frédéric Antonetti est revenu sur la dernière journée où son équipe s'est inclinée 1 but à 0 sur pénalty. " Je reviens sur mon analyse de Nice. Je persiste et je signe. Je n'enlève aucun mot. J'ai analysé le match tel qu'il était. Il y a eu des simulations. L'arbitre s'est laissé abuser. ça a été une des explications de notre défaite. Ensuite, les dirigeants de Nice ont voulu déplacer le débat sur mon compte avec des attaques très basses. Je n'y répondrai pas. Je ne veux pas me mettre à ce niveau. " a réagi l'entraîneur rennais. " Les faits sont cruels. Ils sont incontestables et incontestés. Si j'avais été à la place des Niçois, j'aurais fait profil bas. Ils ont les trois points et c'est nous qui sommes lésés dans cette histoire. On n'a pas pu défendre nos couleurs dans des conditions équitables. Je clos le débat là-dessus. "
Avant de se pencher sur la réception de Valenciennes vendredi soir, Frédéric Antonetti en a tout de même profité pour tirer ce bilan. " Nous sommes l'équipe qui fait le moins de fautes, 199 après 16 journées. Nous sommes l'équipe qui prenons le moins de cartons jaunes et nous sommes la formation qui prenons le plus de cartons rouges. Après, il faut que l'on m'explique. Sur les sept cartons rouges que l'on a pris, il y en a un qui est indiscutable, c'est de celui de Cheick Fantamady Diarra (ndlr : contre Lorient le 16/09/12). Les autres sont discutables et certains sont imaginaires. Je ne veux pas faire le procès de ci, de ça, je regarde les faits tels qu'ils sont. "