Philippe, le SRFC n'est plus qu'à deux matchs du Stade de France...
Plus on avance, plus l'envie d'aller au bout est grande. On a nos chances. On reste sur une qualification pour les 16èmes de finale de la Coupe de France. Contre Evian TG, on était plus proches de la victoire que du nul. On a les armes pour lutter. C'est plus difficile à l'extérieur mais si on passe, le mérite ne sera que plus grand.
Ne craignez-vous pas un climat hostile à Furiani ?
Nous ne sommes pas préoccupés par ce qu'il se passe autour du match. Il faut faire abstraction du contexte. Cela restera un match à onze contre onze, en espérant que l'arbitrage sera à la hauteur. On doit se concentrer sur le jeu. Ce que nous craignons le plus, c'est l'équipe de Bastia car elle a réalisé un exploit en battant le PSG. Chose que l'on n'a pas réussi à faire chez nous. Ils ont fait une grosse impression. Ils seront euphoriques.
Après trois défaites de rang en L1, votre formation vous a t-elle rassuré samedi soir ?
Il y a eu des bonnes choses, avec de la consistance. On s'est crées beaucoup d'occasions. On peut parler d'inefficacité offensive. On a eu 11 tirs dont 7 cadrés. Il nous a manqué un petit peu plus de niaque pour faire basculer le match en notre faveur.
Attendiez-vous avec impatience le retour de Gelson Fernandes ?
On est content de l'avoir à nouveau avec nous. C'est un joueur important, il a fait un bon match. On sait qu'il a une grosse influence dans le jeu défensif et dans la communication sur le terrain. J'étais surtout impatient de casser cette spirale de trois défaites.
