Travaux intersaison : quels changements ?

De la pelouse du stade de la route de Lorient aux tribunes du terrain CFA2 de la Piverdière, les infrastructures du club vont subir plusieurs aménagements durant cette intersaison. Retour sur les principaux changements avec Karim Houari, responsable exploitation du Stade Rennais F.C.

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Coup de jeune route de Lorient

Usée par les crampons, l'aire de jeu du stade de la route de Lorient a été entièrement refaite ces dernières semaines. " Après avoir défeutré, carotté, sablé et fertilisé le gazon, nous avons ressemé de la pelouse. Ce sont les travaux d'entretien habituels d'intersaison ", précise Karim Houari.

D'autres changements sont prévus également dans le stade, notamment du côté de la zone de sortie des vestiaires. En effet, les revêtements de sols de cette zone vont être remplacés par un synthétique rouge. " Cela va renforcer l'identité du Stade Rennais, magnifier la sortie des joueurs. Ce synthétique fera penser à un tapis rouge ". Cet aménagement sera également mis en place au niveau des bancs des joueurs, où une peinture rouge sera associée à ce même revêtement synthétique.

Karim Houari annonce également une informatisation des buvettes et des points de vente aux abords du stade. " Ce sont des éléments d'embellissement. Il n'y a pas de gros changements comme l'année dernière, où nous avions installé le nouveau système de sonorisation " se rappelle le Stadium manager du SRFC.

Deux tribunes à la Piverdière

Des travaux ont également eu lieu au centre d'entraînement Henri Guérin. Grande nouveauté pour les supporters : la construction de deux tribunes aux abords du terrain de l'équipe Espoirs. " Elles disposent chacune de 156 places et sont aujourd'hui opérationnelles ".


C'est donc un nouvel élément de modernisation pour le centre de la Piverdière, où s'est également construit il y a quelques mois un cinquième terrain d'entraînement destiné à l'équipe première. Utilisé toute la saison par Frederic Antonetti et son équipe, il est considéré comme un " superbe outil ", par Karim Houari.